C’est par le biais du magazine japonais Shukan Asahi Geino que nous découvrons les difficultés que connaissent les actrices de films X, au Japon !
L’industrie du porno au Japon a toujours été prospère. Générant des centaines de milliards de yen de chiffre d’affaire, à partir de 2010, le secteur connait graduellement un changement.
Les actrices pour les vidéos amateurs sont employées les week-end pour leur faible coût pendant que les professionnelles du milieu voient leur salaire en baisse.
Le magazine Shukan Asahi Gaino a décidé d’en savoir plus.
Le scénariste de AV (adult video) et écrivain Tetsuo Kokko explique :
“Il va sans dire que la popularité de l’actrice détermine le niveau de son revenu.”
“Une actrice qui appartient à une maison de production obtient un job d’un mois ce qui signifie qu’elle travaillera 2 à 3 jour pour tourner un film.”
“Ces temps-ci, il est difficile de trouver une fille dont le salaire dépasse le million de yen/mois. (9 275€/mois)”
Les types d’actrices qui ne connaissent pas la crise sont celles en indépendantes ou encore celles qui sont spécialisées dans des thèmes d’un genre particulier.
Tetsuo Kokko ajoute :
“Ces films particuliers peuvent conduire à un revenu annuel de plus de 100 millions de yens par an (927 557€/an)“
“Le tournage dure généralement qu’une journée donc c’est le meilleur moyen de gagner de l’argent. Cependant, les heures sont plus longues et le contenu exige une meilleure qualité de prestation.”
“Cela demande beaucoup d’énergie et habituellement seule un ou deux actrices par an atteignent ce genre de salaire.”
“Pour celles en maison de production, c’est différent. Les heures de travail sont plus courtes et elles ne peuvent gagner que 20 000 à 100 000 yen/session (185€~927€). La plupart des actrices sont dans ce cas.”
Le magazine estime qu’il n’y a pas beaucoup d’actrices de films X qui gagnent l’argent qu’elles désirent. Le plus souvent, elles sont obligées de prendre un travail à côté en tant que stripteaseuse ou hôtesse par exemple.
Tetsuo Kokko précise :
“Auparavant, l’objectif commun de ces actrices étaient de devenir comédienne pour le théatre ou la télévision mais ce n’est plus le cas aujourd’hui.”
A l’exception de *Ai Iijima (image ci-dessous), la plupart des actrices qui rêvaient de devenir des personnalités de la télévision sont privés de cette possibilité. Bien sûr, cela peut en partie être attribué à ces actrices qui ne possèdent pas le talent requis.
Certains d’entre elles, telles que Yuri Komuro et Hitomi Shiroishi, qui sont déjà dans des émissions de télévision commencent à s’en rendre compte. Elles pourraient alors devenir auteurs ou entrer dans le milieu de la musique. “
*Ai Iijima était actrice de film X qui s’est ensuite lancée dans la musique sous le nom de Mitsuko Ishii. En 2000, elle publie un roman autobiographique, Platonic Sex, qui connait un succès, au Japon. Depuis, elle est devenue une personnalité de la télévision japonaise influente.
source : shukan asahi geino
Le porno va mal mondialement. On peut faire du sexe un art. Mais le porno, c’est le porno. C’est de la ***.
[…] une saturation des actrices de vidéos pour adultes (AV) qui travaillent dans l’industrie, il n’est pas rare de gagner quelques 30 000 yen […]
Je les aides quand elles veulent les petites actrices :p
Les filles disent que les garçons sont majoritairement tous des pervers c’est peut-être vrai mais c’est à cause de qui aussi pour qu’on soit comme ça ???^^
Huhu
Faut dire que si y a 1/200 Japonaise qui fait du porn’ , c’est pas les actrices qui manquent dans le domaine ..